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Entretien avec Tim Dup : le talentueux poète aux titres à fleur de peau

Dernière mise à jour : 10 déc. 2020

Tim Dup devait se produire sur la scène du Rocher de Palmer le 15 décembre 2020, un concert qui est actuellement en cours de report. Nous avons tout de même eu la chance de lui parler lors d’un entretien tout en douceur et en poésie. Dans cette interview, Tim Dup nous raconte la sortie de son dernier album Qu'en restera-t-il ?, l’influence du confinement sur sa création artistique, son attachement à ses autres projets comme sa participation au conte musical Siam au fil de l’eau ou son activisme au sein de l’association Women safe & children.

L’artiste se confie avec candeur et humilité et nous offre un beau moment de partage, c’est à découvrir ci-dessous !

© Andrea Torres Balaguer

Merci beaucoup Tim Dup de prendre le temps de répondre à nos questions ! Tu devais passer sur les planches du Rocher de Palmer à l’occasion de la tournée de ton deuxième album. Comment vis-tu d’être coupé de ton public à cause des restrictions sanitaires, comment vis-tu cette situation en général en tant qu’artiste ?

C’est une année qui est farfelue, qui est étonnante, assez déroutante mais assez apprenante aussi. Pour résumer, j’ai l’impression que c’est l’accordéon émotionnel. Au début de l’année, ça commence par la construction d’un album, la sortie d’un album, l’organisation et l’annonce d’une tournée, pour moi mais pour plein d’autres artistes aussi j’imagine. Les choses se construisent, les tournées se lancent, les albums se produisent et sortent alors on en parle. Et puis tout s’effondre, premier levier de résilience. C’est une année qui apprend à être résiliant dans le domaine artistique. Au début c’est difficile, il y a beaucoup de frustration puis après tu prends un peu de distance, tu te dis que t’es pas au front, que tu n’es ni soignant ni commerçant donc, même si évidemment ton métier est mis entre parenthèse et que ce que tu as construit pendant plus d’un an s’écroule, tu prends du recul puis tu te remets à créer, mais pas facilement.


“ Ce deuxième album pour moi était un disque super important donc il y a eu beaucoup de frustration parce qu'il n'a pas vécu comme il devait vivre.”


Puis ça revient un peu, on a de nouvelles perspectives donc on relance la tournée puis elle s’effondre à nouveau. Tu construis des choses que tu déconstruis, que tu reconstruis et que tu déconstruis. C’est fatiguant et émotionnellement c’est lourd. Ce qui est très difficile c’est de prévoir et d’entreprendre des choses, d’avoir des perspectives. Et finalement, le fait qu’on nous dise "ta tournée est annulée jusqu’à la fin de l’année voire même jusqu’au printemps prochain" c’est comme un soulagement parce qu’au moins les choses sont plus claires.

J’ai pas trop envie de rentrer dans une contestation politique parce que je trouve que c’est difficile, personne ne saurait régir convenablement, personne n’a été préparé à cette situation. Historiquement, il n’y a aucune période similaire qui puisse empiriquement nous aider à mieux le gérer. C’est aussi difficile de ne pas en vouloir à quelqu’un précisément. Même s' il y a eu énormément d’incohérences, au niveau de la culture, tout ce qui est de l’ordre du spectacle vivant c’est une catastrophe, les salles et les lieux sont en grande difficulté.


“Un album c’est la photographie d’une époque”


Puis du moment ou tu écris les premières lignes à l’instant où tu sors l’album, c’est un achèvement très important. Ce deuxième album pour moi était un disque super important donc évidemment il y a eu beaucoup de frustration parce qu'il n'a pas vécu comme il devait vivre. J’ai eu quelques dates mais pas vraiment de tournée même si les dates que j’ai fait étaient merveilleuses. En septembre j’ai dû faire des compromis, tourner à nouveau tout seul alors que normalement on avait toute une équipe. Et devant des gens masqués, dans des salles exclusivement assises avec des distanciations. Mais je retrouvais du sens à nouveau, qui est maintenant perdu. Mais je suis loin d’être dans la pire des situations, j’essaie juste de prendre du recul là-dessus.


Tu as récemment participé à la création du conte musical Siam au fil de l’eau, peux-tu nous parler de ce projet, qu’est-ce qu’il t’a apporté artistiquement ?

Avec plaisir ! C’est un projet jeunesse et c’est la première fois que je participe à une telle aventure. C’est un conte pour enfants, mais si on a tendance à réduire les projets jeunesse exclusivement à l’attention des enfants, ce qui est chouette c’est qu’on touche également leurs familles. Moi, je le vois avec une de mes nièces, quand tu fais les trajets en voiture tu n’as pas le choix que d’écouter les contes pour enfants qu’ils veulent mettre en boucle. Donc je trouvais ça chouette parce que c’était un projet qui avait du sens aussi. C’est Arnaud Thorette, le musicien qui a composé et écrit le conte avec Johan Farjot qui m’a contacté. Il m’a contacté pendant le premier confinement donc c’était agréable de retrouver le plaisir du partage musical, c’était à point nommé pour retrouver de la stimulation dans cette période chaotique et silencieuse. Ça m'a fait du bien de voyager en tant que confiné. Et en plus il y a un beau projet derrière qui est que le livre audio, une partie des bénéfices est reversée à l’association du Rire Médecin qui est une association qui fait venir des clowns et d’autres artistes dans les hôpitaux pour les enfants malades. Donc il y avait plein de raisons pour lesquelles je trouvais ça chouette d’y participer. C’était un endroit que j’avais pas encore trop exploré, c’était aussi amusant de prêter ma voix à un personnage, on se voit sortir de soi, c’est rigolo.


Et toi, quelles étaient les chansons ou contes que tu écoutais dans la voiture étant petit ?

Je n’ai pas beaucoup écouté de CD audio, si ce n’est Le Soldat Rose mais je pense que c’était parce que j’étais assez grand pour connaître. J’étais plus intéressé par les contes écrits, je me rappelle que j’étais abonné à Mille et une histoires et j’adorais ça, dans chaque livre il y avait trois contes, c’était très chouette. Après c’est des dessins animés qui m’ont marqué. J’adorais le Livre de la Jungle et les projets de Michel Ocelot : Prince et Princesse, Azur et Asmar, Kirikou et la Sorcière, que de bons souvenirs !

© Andrea Torres Balaguer

En mars dernier le documentaire « Qu’en restera-t-il ? » est sorti sur Youtube, un documentaire que tu as écrit et composé et qui a été réalisé et monté par Hugo Pillard. Est-ce que ça t’a donné envie de réaliser et d’écrire davantage ? Quelle est ta relation avec l’image ?

J’aime beaucoup l’image. Même si l’image enlève une part de subjectivité aux choses. Par exemple, quand tu réalises un clip ou plus symptomatiquement quand tu réalises un film tiré d’un livre, tu enlèves cette part de subjectivité et d’imagination aux lecteurs. Et pour autant, à partir du moment où tu poses des images, tout devient très ancré dans le réel et c’est ça qui me plaît énormément dans l’aspect cinématographique. Même musicalement, depuis que je fais de la musique et depuis que j'ai sorti mon premier disque, je mets beaucoup d’ambiance dans les chansons, j’adore ça ! Parce que tu insuffles un climat spatial même dans l’audio et dans l’écoute. Par exemple dans TER Centre (chanson) qui parle d’un train de banlieue, il y a plein d’ambiance de trains, de rails qu’on avait synchronisé comme des rythmiques et ça j’aime bien, placer celui qui écoute dans un espace temps. Donc finalement, j’ai toujours été attaché à ça. Je ne suis pas un immense connaisseur de cinéma mais je suis très cinéphile dans le sens où j'aime ça. J’ai vu plein de films, il m’en manque beaucoup à mon actif pour avoir une vraie culture cinématographie mais j’aime énormément ça et globalement j’aime l’idée, plus présente dans la photo peut-être, d’avoir des instantanés de vie et de les conserver. La photographie c’est ça, c’est l’instant.


“La notion d’ivresse me touche beaucoup, pas seulement l’ivresse liée à l’alcool et l’abandon aux substances mais l’ivresse de vivre. L’ivresse de deux chairs qui se touchent”


Un album c’est la photographie d’une époque, d’un instant et ‘Qu’en restera t-il’ parlait beaucoup de ça justement, de ce rapport au temps, à la transmission, à l’instantanée. À ce paradoxe entre la substantialité du moment présent que tu savoures et le questionnement de ce qu’on va transmettre aux générations futures, à nos enfants etc. Et je trouvais ça chouette, comme c’était un disque (son deuxième album) qui avait moins de procédé de langage, par exemple j’avais pas fait de bio, je l’ai assez peu décrit même aux médias et aux professionnels parce que je ne voulais pas donner trop d’éléments d’à propos, j’avais envie qu’on le prenne différemment. Dans le livret du CD, j’avais mis des nouvelles que j’avais écrites en voyage et qui faisaient le lien entre les chansons. Le documentaire était la poursuite de ça, et en effet, moi j’ai toujours mon téléphone ou un appareil avec moi parce que j’adore figer les instants. Et ce qui est merveilleux avec la vidéo c’est que t’a pas que l’instantané d’une seconde, tu as une ambiance, une ambiance sonore et visuelle donc assez vite tu te replonges là-dedans. J’ai ramené pleins de souvenirs du Japon, d’Inde, de voyages qui m’ont marqué et j’ai associé ça, dans le documentaire, à des moments de famille. Je pense que ce disque parle de ça, de ce qui est lointain et de ce qui est proche. Après, qu’est-ce qui est proche ? À chacun de trouver sa réponse et c’est d’ailleurs pour ça qu’on pose une question même dans le titre du disque, moi j’ai pas de réponse, je ne sais pas, globalement dans la vie je ne sais pas. Et ce serait bien d’avoir plus de gens qui disent ‘je ne sais pas’. Parce qu’on a l’impression que tout le monde répond à tout et que tout le monde donne son avis à longueur de journée, ce qui est fatigant parce qu’on n'est pas spécialiste de ce dont on parle, et moi le premier ! C’était une remise en perspective du fait qu’on était à la fois grand dans ce qu’on entreprenait, ce qu’on accomplissait et à la fois minuscule, même pathétique, d’une certaine façon.

© Hugo Pillard

Le titre Toujours, en collaboration avec Lass et Synapson nous fait énormément de bien. C’est un titre qui appelle à la chaleur et à la fête, tu y chantes : « Donne-moi du corps, donne-moi du vin, Donne-moi la mort, donne-moi ton sein, Donne-moi la recette, donne-moi l’amour ». Qu’est-ce que c’est cette ‘recette’ pour toi ?

Donne-moi la recette pour te plaire, pour le kiffe, pour vivre. Il y avait un peu de tout ça mélangé. Mais c’est marrant parce que comme le conte musical, c’est une œuvre qui est née pendant le confinement, Alex de Synapson m’envoie cette prod et me dit ‘mec on pense à toi pour ce morceau’. Et à chaque collaboration avec eux, le texte me vient en 15 minutes, ça va très vite, c’est instantané. Comme lors de notre première collaboration sur le titre ‘Ce que l’on veut.

C’était plutôt au début du confinement et je me suis dis en écrivant : ‘Putain mais je veux ça, je veux du soleil, du souvenir’, et le premier couplet fait :


Les couleurs les effluves, j'avais presque oublié / Du port de Syracuse et des corps libérés / La lumière qui s'infuse, les soirs d'été / Que l'astre roi diffuse dans les verres de Rosé / Et les lèvres confuses de sourires et de pleurs / On s'embrasse, on s'excuse, on sait plus comment faire / Compressé sous les turnes, angoissé du silence / Retrouver le déluge, hé, de l'ivresse et la danse”

La notion d’ivresse me touche beaucoup, pas seulement l’ivresse liée à l’alcool et l’abandon aux substances mais l’ivresse de vivre. L’ivresse de deux chairs qui se touchent, de la danse aussi. Je dirais même que c’est une vertu plus qu’une notion et qui est très présente dans ma vie, à bien des égards. A la fois j’aime beaucoup faire du sport, l’idée d’abandon se retrouve beaucoup dans le sport. Tu la trouves aussi beaucoup sur une scène, quand tu vas faire un concert, l’idée, c’est l’abandon, c’est de pas réfléchir. Les concerts que j’ai raté c’est quand je réfléchissais et que je me regardais sur scène, que je me demandais ce qu’allaient penser les gens. Il faut savoir s’abandonner à ce que tu as créé sans te demander si on va te juger. Et on est dans une société aujourd'hui où on donne beaucoup d’importance à ce que vont penser les gens de nous. Moi-même dans ma vie, je sais que c’est un défaut mais j’aime qu’on m’aime bien. Donc on essaie d’être quelqu’un de cool mais parfois à trop vouloir être quelqu’un de bien on se perd ou on est dans une fausse modestie insupportable. Il faut trouver un juste milieu.

J’ai complètement dérivé de ta question encore une fois mais en tout cas c’était ça ce titre, retrouver la fièvre, le kiff et le lien surtout. Je suis sorti de ce premier confinement en me disant que j’étais fait pour le lien, pas pour rester seul chez moi. On est dans une année tellement spéciale, on n'a pas le choix. Parce qu’il faut aussi prendre soin les uns des autres en pensant au collectif. Se préserver, faire attention aux plus fragiles, donc on obéit et on se confine. Mais le moment où tout ça sera enfin derrière nous, je pense qu’il y aura un raz de marée de kiff, de se retrouver dans nos chairs, d’embrasser des gens et de retrouver ce lien.

Si je ne m’abuse, tu travailles actuellement sur ton troisième album. Comment se passe l’écriture et la composition, qu’est-ce qui change des précédents projets ?

Je pense que la tournée qui viendra va chevaucher les deux albums, et ce n'est pas grave ! J’adore mon deuxième disque, j’en suis très fier et je suis sûr qu’il vivra d’une façon ou d’une autre. J’ai eu beaucoup de mal à recréer des chansons mais finalement c’est revenu et là je suis sur la finition du troisième album, sur la finition de l’écriture, il y a encore pas mal de travail à faire en prod mais j’aimerais beaucoup qu’il sorte l’année prochaine, plutôt vite. Quand précisément je ne sais pas du tout mais c’est un album qui est très chantant, très dansant et plus léger que le précédent. J’avais besoin de ça, j’avais besoin de légèreté. Il est assez ensoleillé je dirais, j’avais besoin de ça dans ma vie et je pense que c’est cool d’avoir des morceaux un peu bonbon, des chansons qui font plaisir et pas qu'être cérébral. Le deuxième était assez profond et ça m’a fait du bien aussi !

C’est marrant parce que je pense que les gens aiment la chanson. Surtout en France, on aime chanter des refrains ensemble, avoir des mélodies universelles qui fédèrent. Et c’est vrai qu’on a été très longtemps dans une écoute omnipotente autour du rap et du hip-hop, moi j’adore le hip-hop j’en écoute beaucoup mais c’est un peu plus frontal. Il y a même quelque chose de physique, c’est plus sur l’impact. Et moi j 'avais besoin de plus de douceur. Je pense que ça va être un disque tendre et tant mieux parce que moi ça me fait plaisir la tendresse.


Tu soutiens l’association Women safe and children qui accompagne des femmes et enfants victimes de violences, peux-tu nous parler de ton engagement au sein de cette structure et des actions qu’elle mène ?

C’est une association que je n’appellerai pas féministe, ce n’est pas une association comme Nous Toutes par exemple qui va participer plus généralement à l’émancipation des femmes, de la parole, à déconstruire et décentrer l’androcentrisme*. C’est plus une association qui, au quotidien, va venir en aide aux victimes de violence. Et pourtant, les deux structures sont très liées je trouve. Et moi en tant que mec j’ai soif d’apprendre et de déconstruire beaucoup de choses qui concernent mon propre androcentrisme, ma propre vision du monde qui est celle d’un mec hétéro blanc qui n’a pas vécu dans la misère. J’ai besoin en tout cas de me confronter à ça et de sortir de plein de codes et de cette normativité qui est étouffante et globalement négative.


Ensuite, Women safe and Children ça a été une rencontre avant tout, avec l’association et avec Frédérique Martz qui est sa cofondatrice. C’est une association qui m’a touché, je ne sais pas dans quelles mesures précisément, mais en tout cas, ça m’a touché et j’ai eu envie de leur apporter mon soutien et depuis je suis engagé à côté d’elles et eux. Et je trouve que évidemment en ce moment ça a de l'écho puisque des enfants ou des femmes se retrouvent dans des situations de confinement où la violence devient inévitable. Frédérique m’en parlait, le premier confinement a été une révélation pour de nombreuses victimes qui, avant ce confinement et avant de se retrouver entre quatre murs avec leur agresseur, n’avaient pas conscience qu’elles étaient victimes.

C’est très difficile en ce moment parce que ce sont des métiers qui prennent tout leur sens en présentiel, puisqu’il faut faire un suivi avec ces femmes et ces familles, leur parler. On est en train de mettre en place des ateliers de musique, d’échange avec des ados par exemple. Il y a plein de choses à faire et il y a beaucoup de combats sur lesquels je m’engage en tant que personne, pas seulement en tant qu’artiste. Parce que ça t’apporte dans ton humanité. Mais concrètement on ne peut pas s’engager partout, c’est important de se sentir concerné et de suivre intellectuellement. Je n’aime pas beaucoup l’idée de certitude, je pense que toute la vie on est amené à douter, à se construire et à se déconstruire, déplacer nos zones de confort, s’émanciper ça veut dire choisir de le faire aussi.

J’aime bien cette phrase : ‘Il n’y a pas de hiérarchie des combats, il y a seulement des consciences qui s’élèvent’.

Tu es un artiste que l’on apprécie notamment pour sa poésie et son écriture, as-tu des recommandations d’auteurs, de livres, de belles choses que tu veux partager à nos lecteurs ?

Comme ça je dirais deux bouquins très différents mais ancrés autour de sensations : La Panthère des Neiges de Sylvain Tesson. Pendant ce confinement, ça peut être intéressant, dans ce livre il voyage à l’affût sur les plateaux tibétains avec un ami photographe pour photographier la panthère des neiges. C’est un livre sur la patience, sur la loi du tao*, le silence, la distance et les grands espaces. Et ça fait vraiment du bien.

Un autre livre de sensation mais très différent c’est Noces / l’Eté de Camus, pour retrouver ces sensations charnelles des parfums d’été, du soleil algérien sur la côte.

Un livre un peu plus philosophique et politique, c’est un ouvrage d’Edgar Morin qui s’appelle La voie : pour l’avenir de l’humanité. C’est un livre assez chouette et plein d’espoir.

Et comme on retrouve l’idée d’un intérieur, qu’il y a des gens qui seront seuls, en couple ou bien en pluri couples etc, Fragments d’un discours amoureux de Roland Barthes. J’aime bien relire ce bouquin de temps en temps, on y découvre des tas de choses sur le sentiment amoureux, le discours et le couple.


*L'androcentrisme (du grec andro-, homme, mâle) est un mode de pensée, conscient ou non, consistant à envisager le monde uniquement ou en majeure partie du point de vue des êtres humains de sexe masculin.


*Le tao est la « Mère du monde », le principe qui engendre tout ce qui existe, la force fondamentale qui coule en toutes choses de l’univers. C'est l’essence même de la réalité et par nature ineffable et indescriptible.

Le deuxième album de Tim Dup, Qu’en restera-t-il, est disponible sur toutes les plateformes d’écoute ! Une œuvre musicale à découvrir sans modération, en attendant ses nouveaux titres qu’il nous décrit comme chantants et tendres, et que l’on aimerait déjà connaître par cœur.


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Louise Naudot ⎮ 07.12.2020





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