Cela fait 7 ans que notre bateau préféré a jeté l’ancre. 7 ans qu’il grandit et s’enrichit. Et c’est justement la richesse de l’Iboat que l’on fête ce mois-ci. Car « le bateau » est devenu aujourd’hui un lieu unique, un restaurant le jour, un club la nuit, une cale à la programmation de qualité, un endroit où l'on se retrouve. Un lieu phare qui ne laisse pas les bordelais indifférents.
Qu’ils soient étudiants, musiciens, habitués… les bordelais s’accordent sur un point : l’Iboat est un incontournable.
Les avis
Pour preuves, Feather a rencontré quelques bordelais :
Pauline Trombetta, 24 ans, se remémore : « C’est dingue, 7 ans de l’Iboat, ça veut dire que ça ouvrait en 2011. Et moi le 14 novembre 2011, j’avais 18 ans et j’étais à l’entrée de l’Iboat avec ma meilleure pote. »
Pour Emmanuel Lefèvre, 36 ans, pianiste professionnel : « l'Iboat est un lieu incontournable de la vie culturelle bordelaise. La programmation est pointue, électro, indé, rap... et le son dans la cale est assez dingue ! »
Quant à Jérémy Bergey, 24 ans, que l’on peut connaitre sous le nom de JOVEM derrière ses platines, et qui s’est déjà produit dans la fameuse cale du bateau plusieurs fois, il ajoute que « sur scène ou sur le dancefloor, une magie s’opère entre le public et l’artiste. L’organisation est impeccable et professionnelle comme la qualité sonore millimétrée par des ingénieurs du son passionnés. En bref, c’est pour moi le temple de la musique électronique bordelaise. »
Certains jeunes habitués tombent aussi d’accord : c’est le cas de Clément Furrer, 22 ans qui nous explique : « L’Iboat est pour moi le lieu qui se rapproche le plus de l’ambiance club que j’ai pu voir à l’étranger. C’est simple, sombre, minimaliste. La programmation est sans doute l’une des meilleures de la région et pour autant des plus variées. C’est un projet qui a placé la barre très haute et qui ne cesse de grandir. C’est la garantie d’une bonne soirée, c’est un peu la maison quoi ! ». Son point de vue rejoint celui d’Hermann Buisson, membre du jeune collectif La Clank qui ajoute « l’Iboat, c’est un peu l’endroit où tu sais que tu vas toujours retrouver tes potes, c’est le genre de spot où tu sais qu’il y aura toujours du bon son. C’est aussi un endroit qui donne sa chance aux bordelais qui débutent dans la musique, ça donne un côté familial. »
Et même si les bordelais sont nombreux à être des habitués, il existe des novices tout aussi enchantés comme Louise Hardoin, 20 ans qui se rendait pour la première fois à l’Iboat en ce jeudi 30 aout : « Quand je suis arrivée, la première chose que j'ai remarqué, ce sont les sculptures qui sont réalisées par le gérant des Vivres de l'Art. On sent que c’est authentique, et c’est ça qui est cool ! »
Les 7 événements du navire
Et les 7 ans de l’Iboat, ce n’est pas qu’une seule soirée, mais justement 7 évènements !
• Dès le 7 septembre, on se retrouve pour la première soirée, avec le concert de Princess Chelsea et l’amoureux des machines électroniques, Strahil Velchev, plus connu sous le pseudo KiNK mais aussi Tuff Wheelz. (Go là et là)
• Le 12 septembre, on court danser avec le dandy Donny Benét, pour sa première date européenne. (Go)
• Le 15 septembre, ce sera Romain Play ainsi que Benedetta avec Le Camion Bazar. (Go)
• Le 20 septembre, on se retrouvera cette fois ci pour un apéro avec R De Détente et Flora Estel. (Go)
• Le clap de fin sera donné le 29 septembre avec une soirée de clôture "Les 7 ans du bateau, c'est rigolo" (là). Une grande scène sera installée en extérieur où nous pourrons assister à des concerts gratuits comme notamment celui de Lewis Ofman (entrée libre de 17h à minuit). Nous verrons défiler des bus de l’Iboat et de nombreuses animations (cours de hula hoop, expo photos par Miléna Delorme, des Poptails de Fernand et Paulette…). Harry Cature, que l’on connait bien, sera lui aussi de la partie, puisqu’il a pris en otage toute la communication de l’événement.
Alors, plus de doute, personne ne ratera cet anniversaire tant attendu.
Rendez-vous sur notre page Facebook pour des ptits jeux-concours ;)
Eva Pons I 04/09/2018
© Iboat
© Blandine Pichon