Ce 14, 15 et 16 juin aura lieu le très attendu festival Vie Sauvage au coeur de la belle Citadelle de Bourg. Chaque année le festival offre une fête célébrant la passion et la joie du bien vivre avec une programmation musicale enchanteresse et des propositions gastronomiques uniques. Le festival se déroule au coeur d’une nature époustouflante qui donne vue sur l’union de la Dordogne et de la Garonne. L’événement vous propose délices et moments inoubliables et revient toujours plus attrayant pour son édition 2019.
Feather a rencontré Maxime afin de discuter avec lui d’un aspect passionné du festival : la gastronomie. En effet si Vie Sauvage vous invite à vous trémousser sur Flavien Berger, Vendredi sur mer ou encore Pépite dans un cadre idyllique, le festival est aussi connu pour ses grandes tablées conviviales et ses cantines abordables et délicieuses. Lumière sur une programmation culinaire qui réveillera vos sens, et votre côté sauvage…
Maxime : Quand on a créé le festival la gastronomie était quelque chose de super important. On voulait mettre en avant le terroir, les bons produits et les vins du territoire donc les vins appellations Côtes de Bourg. Quand on a commencé on avait une grosse cantine qui faisait tout. Ça fait quatre ans qu’on a une réelle programmation culinaire et qu’on a pu développer nos propositions.
Cette année on a travaillé sur quatre formats !
Le premier c’est la cantine street-food qui reste disponible et qui propose des plats de 4 à 9€ dans la Citadelle. C’est une formule adaptée à tous les prix et tous les portefeuilles.
Ensuite il y a le restaurant éphémère. Le concept c’est d’avoir 15 couverts, 3 services et 2 équipes de restaurants différents pour les deux soirs. La première soirée est signée par Félix Clerc du restaurant Symbiose qui ouvre un nouveau restaurant. Il vient accompagné de son associé et barman de Symbiose donc il y aura quelques cocktails. On est sur une offre plus qualitative avec un service à l’assiette et du vin compris avec. Le deuxième soir c’est Marine Hervouet qui est cheffe de partie dans un restaurant trois étoiles à Paris. Cette formule là est à 25€. L’endroit est très sympas parce que les tables sont en bordure de fleuve et sur un bout de calcaire et donc surélevées. La vue est quasi panoramique sur le fleuve, la forêt, les vignes etc. Il y a une grande richesse du paysage surtout au moment du couché de soleil.
Le troisième format c’est le banquet de chef qui a lieu le samedi midi et qui est dirigé cette année par Jérôme Billot. C’est un repas gastronomique compris en cinq plats accompagnés d’un verre de vin à chaque fois. Il est signé par le chef du restaurant Chez Dan, les plats auront donc une influence asiatique. Cette proposition est à 50€.
La quatrième formule disponible c’est une nouveauté : le banquet de village. L’idée était de reproduire le banquet de fin de Astérix avec la grande tablée, le bon vin, les retrouvailles etc. Pour ce banquet on a invité une équipe située à St Vivien de Médoc qui travaillent seulement avec du local : La fleur au fusil. Ils sont dans le Nord Médoc, un endroit très riche en producteurs, pêcheurs, chasseurs etc. Tout ça se passe le samedi midi et pour 14€ vous êtes servis un plat et du vin local bien sûr.
Alors, vous avez l’eau à la bouche ? Si ces formules vous donnent envie et que vous désirez absolument goûter aux saveurs locales en pleine nature, réservez votre table sur le site et assurez-vous un beau moment de découverte et de partage !
Vie Sauvage se démarque comme chaque année avec sa programmation ambitieuse et sa capacité à vous faire découvrir paysages, artistes et créateurs hors du commun. Son atmosphère légère et douce a conquis de nombreux festivaliers les années précédentes et le démarque des autres événements en Gironde.
À une semaine du festival, il reste encore des pass un et deux jours alors si vous êtes conquis, on vous retrouve les 14, 15 et 16 juin à Bourg, à la table d’Astérix.
Infos pratiques :
Pour réserver votre table, c'est par là
Pour acheter vos places, c'est ici !
Découvrez la programmation complète
Louise Naudot | 08.06.2019
Comments