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Interview avec Maxence : l’amour et la mélancolie.

Dernière mise à jour : 23 nov. 2021

Le 10 novembre, Maxence (anciennement Maxenss), de son vrai nom Maxence Lapérouse a donné un concert à la Rock School Barbey à Bordeaux. Le 26 novembre, il sortira son tout premier album intitulé « Tout est trop beau », Feather l’a rencontré pour qu’il nous en parle.


Ton premier album « Tout est trop beau » sort le 26 novembre, peux-tu nous en parler ?

J’ai adoré dépeindre plein de tableaux, j’aime bien imaginer ce que j’écris visuellement, je parle beaucoup de ressenti, je parle beaucoup d’amour, de la manière qu’on a d'appréhender les choses, de les vivre. Il y a aussi beaucoup de choses mélancoliques, je n’étais pas forcément dans des états d’esprit hyper joyeux au moment de l’écriture, donc j’aime bien aussi faire voyager les gens dans ces émotions là donc si c’est le cas je serai très content, car j’ai ressenti pleins de choses cool en l’écrivant.


Quelles ont été tes inspirations ?

Je pense que le confinement m’a bien aidé en réalité, justement le premier c’était une période assez anxiogène un peu « fin du monde », on avait vraiment l’impression que ça allait être la fin de tout, et je pense que ça m’a aidé à écrire des choses plus solaires et joyeuses, contrairement à mon projet précédent. Pour la première fois, j’écrivais des chansons qui ne donnaient pas envie de se tirer une balle.

Disons que, malheureusement, la période contemporaine de cette pandémie et de ces confinements m’ont pas mal aidé et influencé dans l’écriture. Puis mes aventures du quotidien, qui ont été pas mal inspirantes pour ces chansons.


Pour la première fois, j’écrivais des chansons qui ne donnaient pas envie de se tirer une balle


Quels sont les thèmes abordés ?

Je parle de choses de la vie, dans cet album je parle beaucoup d’amour sous toutes ses formes. Alors évidemment, il y a une part de vérité, mais également pas mal de fiction dans ce que j’écris. J’aime bien laisser libre cours aux gens de se demander et de trouver quel est le pourcentage de chaque.



Tu parles de la pandémie, comment t’as t-elle t’a impacté musicalement ?

Comme je le disais, ça a été assez nutritif en terme de création. La pandémie m’a permis de m’isoler au premier confinement avec plein d’amis qui font des métiers créatifs, chacun a pu pratiquer son art et justement, c’était chouette d’avoir un côté séminaire artistique pour créer.



Les premiers épisodes de ton documentaire sont sortis, peux-tu nous décrire ce projet ?

C’est un projet assez hybride, une sorte de vrai/faux documentaire sur la création de mon album. Le pitch, c’est que j’avais fait un super documentaire qui retraçait toute ma vie, malheureusement, j’ai cassé le disque dur sur lequel il y avait toutes les vidéos. Alors avec ma copine et mes amis on essaie de tout recréer avec nos propres moyens.

Ça mêle réalité, fiction, humour, poésie… J’ai essayé de mélanger tout ce qui me plaît, notamment la comédie et la chanson. Tout ce que je suis et tout ce que j’aime. Il y a 5 épisodes, et ça sort chaque dimanche, et le dernier épisode sort le 26 novembre, date de sortie de mon album.

Il y a 5 épisodes, et ça sort chaque dimanche, et le dernier épisode sort le 26 novembre, date de sortie de mon album.


 

Romane Maury | 19/11/2021

© : Louis Lafon + Romane Maury

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